En France, le quinquennat d'Emmanuel Macron aura suffi à installer Netflix dans nos habitudes de consommateurs, au même titre qu'Amazon, Uber ou Deliveroo. Entre le patron de la plateforme et celui de l'Élysée, un même profil se dessine : ce sont deux ultralibéraux, qui n'aiment rien tant que l'innovation. Netflix est ainsi devenu le fournisseur officiel d'images de la start-up nation, le média de nos vies immatérielles et domestiquées. Nous avions une longue histoire avec le cinéma, un goût commun pour la salle, mais ils ne pèsent plus rien face à la puissance de l'économie numérique.
Luc Cortebeeck has been fighting for social justice for over forty years. From 2011 to 2017, he was Vice-Chairperson of the ILO Governing Body and in 2017-2018 its Chairperson. The International Labor Organization (ILO) is the UN agency that brings together governments, employers and workers, promotes decent work and social justice, and sets and supervises international labour standards.
In Still Work to Be Done he presents his experiences and insights, which call for reflection and, above all, action. In a far-reaching analysis of labour in today's world - from forced labour in Asia and the Gulf States through the brutal violence against trade unionists in Latin America to the erosion of social security and the right to strike in industrialised countries - he examines the future of work : how can we eliminate child labour and exploitation ? How do we make governments and multinationals respect all workers in supply chains ? How do we use the challenges and opportunities of digitisation to tackle inequality ? How will we work in the post-coronavirus world, after a pandemic hitting the most vulnerable and the young hardest of all ?
Plus de cent ans après la séparation de l'Église et de l'État, ce livre se propose de faire le point sur la réalité du patrimoine immobilier du clergé en France et met en scène un panel d'acteurs étonnant : diocèses, congrégations religieuses, agents immobiliers, bailleurs sociaux, municipalités, évêchés, particuliers.
Chacun défend ses intérêts, qu'ils soient bassement matériels ou éminemment spirituels, ou les deux à la fois. Monde souterrain, discret, invisible : les biens de l'Église n'ont jamais suscité autant de fantasmes et de convoitises.
On parle ici de plus de 100 000 édifices, dont la plupart sont classés monuments historiques, ce qui autorise les acquéreurs à procéder à des opérations de défiscalisation généreuses. Le vieillissement des soeurs en « activité » et l'effondrement des vocations désertifient les bâtiments ecclésiastiques. Les nouvelles communautés, elles, sont gérées comme des entreprises par des économes parfaitement à l'aise avec le monde entrepreneurial, et qui excellent dans les transactions immobilières juteuses.
Inédite, cette enquête vaut par la richesse et le pittoresque des anecdotes et des témoignages ainsi que par l'évaluation chiffrée, pour la première fois, de l'importance du phénomène.
L'affrontement entre la Chine et les États-Unis ne cesse de se durcir.
Duopole instable doublé de conflits régionaux de haute intensité, comme au Moyen-Orient ou en Mer de Chine, ce couple infernal continue son entreprise de démolition de l'ordre mondial, qui pourrait nous conduire à court terme à une véritable guerre ouverte. Les relations internationales et l'économie globale en sont transformées.
L'Europe, quant à elle, masse inorganisée et divisée, est la spectatrice d'un conflit qu'elle observe avec une apparence de détachement à la mesure de son impuissance. Pourtant, c'est elle qui détient la solution pour éviter un désastre planétaire.
Depuis les années 1980, la spéculation a envahi la sphère financière, puis l'économie réelle et enfin la société tout entière. Elle a bouleversé le travail, la consommation, les entreprises, les mentalités, mais aussi notre vie quotidienne et notre manière de nous situer dans une société à la fois fébrile et fataliste. Bien que les dettes financières, sociales et environnementales se soient creusées de manière vertigineuse, l'esprit de ce nouveau capitalisme a affirmé que notre avenir sera si riche que nous n'avons pas à nous en soucier : elles seront effacées par les performances technologiques que nous promet l'avenir. Rebondissant après chaque crise depuis un demi-siècle, le capitalisme spéculatif a pris la forme de la financiarisation, puis de la digitalisation. La crise de la Covid-19 prépare-t-elle une nouvelle mue ou marque-t-elle un coup d'arrêt à son expansion insouciante ?
Voici l'édition revue et augmentée d'un ouvrage qui se lit comme le roman de l'économie contemporaine raconté par un des meilleurs spécialistes du lien entre les entreprises et la société.
Le métavers, nouveau phénomène culturel, royaume des technologies immersives, monde aux frontières du réel, défi ou menace pour l'humanité ? Tout à la fois. Fascinant autant que repoussant, le métavers n'est pas un jeu vidéo : c'est un monde durable en perpétuelle évolution, avec ses structures organisationnelles, son économie, ses codes sociétaux.
En précurseur et fin connaisseur du sujet, Philippe Rodriguez vous embarque dans l'aventure du métavers, univers à la fois virtuel et immersif, dans lequel chacun peut se plonger et mener une existence parallèle. Cet ouvrage retrace ainsi son histoire pour en comprendre ses origines culturelles, intellectuelles et philosophiques, mais aussi ses évolutions et sa relation avec les dernières technologies (blockchain, cryptomonnaies, NFT ou encore finance décentralisée). Il s'appuie sur des exemples concrets et les témoignages de sept acteurs incontournables du métavers (Aurélia Ammour, Agoria, Soraya Jaber, Michael Amar, Bilal El Alamy, Hubert de Vauplane, Sébastien Borget) .
De révolutions en révolutions technologiques, le métavers nous mènera-t-il vers un monde meilleur ?
« L'argent magique » existe, et ce sont les entreprises qui en profitent. En deux ans de pandémie, elles ont obtenu des centaines de milliards d'euros d'aides nouvelles, qui se sont ajoutées aux milliards d'euros d'aides directes ou indirectes déjà en place. Qui sont, dès lors, les « assistés » ? Le vrai « pognon de dingue » est celui qui alimente les caisses des grands groupes, pas celui qui finance les services publics ou la protection des plus démunis.
Avant la pandémie, les aides aux entreprises augmentaient déjà trois fois plus vite que les dépenses sociales. Distribuées sans véritables conditions, sans suivi et sans transparence, elles ne servent qu'à perpétuer les carences d'un modèle économique à bout de souffle, qui enrichit les milliardaires, détruit des emplois et dérègle le climat.
L'ère du « quoi qu'il en coûte » inaugurée au printemps 2020 n'a que très peu profité à l'hôpital, à l'éducation et aux travailleurs essentiels. La pandémie aura surtout servi à consacrer la mise des finances publiques au service du secteur privé. Adieu l'État-providence pour tous, bienvenue dans le corporate welfare, l'État-providence pour les entreprises !
Un retournement démographique est en marche dans notre pays, et il aura des répercussions gigantesques dans notre vie quotidienne. La France vieillit et n'a jamais compté autant de seniors. Défi collectif à la fois inédit et inéluctable, ce «?grand vieillissement?» ne fait que commencer. Ses conséquences se font ressentir partout?: il gonfle les prix de l'immobilier et la dépense publique, creuse les inégalités de revenus et de patrimoine entre les âges, grippe notre modèle social. Il fait aussi dériver notre démocratie vers une irrémédiable gérontocratie, avec des électeurs âgés et mobilisés, en décalage avec une jeunesse minoritaire qui boude les urnes. Plus la France vieillit, plus les actifs triment, et plus les jeunes trinquent. Valideront-ils sans broncher ce nouveau contrat entre les générations?? Accepteront-ils de cotiser et travailler toujours plus pour financer la retraite des boomers ? Et qui va prendre en charge la dépendance??
C'est à l'âge de 22 ans qu'Allison Jungling commence à investir dans l'immobilier, seule, sans aucune aide, puisant par ses propres moyens les informations dont elle a besoin. Mois après mois, elle apprend sans jamais cesser de croire en elle, tirant de chaque erreur une leçon pour rendre ses lendemains plus sûrs, voyant en chaque obstacle un moyen d'être plus forte et de se rapprocher encore davantage de son objectif : devenir rentière grâce à l'immobilier.
À force de persévérance, Allison atteint son but en seulement deux ans et continue depuis à accumuler les réussites. Devenue experte dans l'art de dénicher des biens prometteurs et d'en faire de superbes logements que les locataires s'arrachent, elle dévoile dans ce livre les secrets de son succès, les pièges à éviter et les techniques qui marchent vraiment, pour que même en partant de rien, chacun puisse investir avec succès et mener librement la vie qu'il souhaite.
Flambée des prix de l'énergie, regain de l'inflation, les Français ont le sentiment que leurs fins de mois sont de plus en plus compliquées à boucler. Difficile dans ces conditions d'entendre nos dirigeants affirmer que le pouvoir d'achat ne cesse de s'améliorer. Difficile aussi d'être optimiste quand on nous assène sans arrêt l'impossibilité d'augmenter les salaires au nom de la sacro-sainte compétitivité.
Cet ouvrage montre pourtant que l'amélioration durable du pouvoir d'achat et la réduction des inégalités de revenus ne sont pas obligatoirement les ennemies de notre dynamique compétitive. Une fois évacuées les solutions "miracle" dont il rappellera les impasses, il explique comment réarmer l'action publique économique en explorant trois voies : se donner de vrais moyens dans les domaines de l'éducation, de la formation, de la recherche et de l'innovation, actionner de nouveaux leviers de partage des richesses et de réduction des inégalités, élaborer un pacte productif et salarial avec un pilotage public et surveillé par un observatoire indépendant.
La réconciliation entre réussite économique et bien-être social est possible, autour d'un capitalisme social et engagé redonnant de l'espoir à celles et ceux qui veulent sereinement préparer leur avenir et se débarrasser du sentiment d'être mis à l'écart des bénéfices issus des transformations à l'oeuvre dans notre économie.
" Resteriez-vous sept heures à trier des vis ? Eux, oui ".
" Connaît-on les travailleurs handicapés ? Les écoute-t-on ? Leur donne-t-on la parole ? Le handicap, c'est comme le chou de Bruxelles, on n'aime pas trop, mais on en prend de temps en temps pour se donner bonne conscience. À la télévision, on en parle trois fois par an, à l'occasion de la semaine européenne, de la journée mondiale ou de la revalorisation de l'Allocation adulte handicapé : + 0,3 % en 2020 ! Mais l'homme, la femme, qui trime pour la moitié d'un SMIC, on ne le voit pas, jamais.
Un handicapé, ça pue, ça bégaye, c'est moche, pas soigné, pas télégénique, ça s'exprime mal ou trop lentement. On trouve quelqu'un pour parler à sa place, un spécialiste, un responsable, un porte-parole, un tuteur, un gestionnaire qui chante l'inclusion en costard-cravate en disant qu'un handicapé, ce n'est pas tout à fait ce qu'on croit, c'est capable de bosser aussi durement que vous et moi. "
L'automatisation, liée à l'économie des data, va déferler sur tous les secteurs de l'économie mondiale. Dans vingt ans, pas un n'aura été épargné. Les hommes politiques sont tétanisés par cette transformation imminente, qui va marquer le déclin de l'emploi - et donc du salariat. Faut-il s'en alarmer? N'est-ce pas aussi une vraie bonne nouvelle? Et si oui, à quelles conditions ?Dans un dialogue très politique et prospectif avec Ariel Kyrou, Bernard Stiegler s'emploie à penser le phénomène qui, nous entraînant dans un déséquilibre toujours plus grand, nous place au pied du mur. La question de la production de valeur et de sa redistribution hors salaire se pose à neuf: c'est toute notre économie qui est à reconstruire - et c'est l'occasion d'opérer une transition de la société consumériste (la nôtre, celle de la gabegie, de l'exploitation et du chômage) vers une société contributive fondée sur un revenu contributif dont le régime des intermittents du spectacle fournit la matrice.Cela suppose de repenser le travail de fond en comble pour le réinventer - comme production de différences redonnant son vrai sens à la richesse. Dans l'Anthropocène que domine l'entropie, et qui annonce la fin de la planète habitable, le travail réinventé doit annoncer et inaugurer l'ère du Néguanthropocène - où la néguentropie devient le critère de la valeur au service d'une toute autre économie.
Bernard Stiegler est philosophe. Il vient de faire paraître La Société automatique, 1. L'avenir du travail (Fayard, 2015).Ariel Kyrouest essayiste, rédacteur en chef du site Culture Mobile. Son dernier livre, écrit avec Mounir Fatmi: Ceci n'est pas un blasphème (Dernière Marge/Actes Sud, 2015).
On peut dire que le grand gagnant de la crise du coronavirus est Amazon. Tandis qu'à la mi-avril 2020, la pandémie approchait de son moment le plus critique, la valeur des actions de la firme augmentait de 30 % par rapport à l'année précédente ; et en l'espace de seulement deux mois, la fortune nette du PDG Jeff Bezos augmentait de 24 milliards de dollars. Comme le résume un analyste de l'industrie numérique : «Le Covid-19 a été comme une injection d'hormones de croissance pour Amazon.» L'enquête d'Alec MacGillis débute bien avant la crise sanitaire actuelle.
Sa méthode est simple et efficace : c'est par une mosaïque d'approches et de vies que l'on comprend le mieux un système, comment ce dernier affecte ceux qui entrent en contact avec sa trajectoire. À la manière des grands reportages littéraires, Le Système Amazon décortique l'implacable machine et ses rouages à travers une impressionnante série de portraits et de tableaux.
À Seattle, ce sont les cadres bien rémunérés de la firme qui accélèrent la gentrification d'un quartier populaire historique ; dans une banlieue de Virginie, ce sont des propriétaires qui tentent de protéger leur quartier de l'impact environnemental d'un nouveau data center Amazon ; à El Paso, ce sont des petites entreprises de fournitures de bureau qui tentent de résister à la prise de contrôle par Amazon de l'ensemble des marchés publics ; à Baltimore, c'est un entrepôt qui remplace une usine sidérurgique légendaire, etc.
Il montre également comment la firme est devenue un lobby à part entière à Washington, l'auteur poussant les portes du gigantesque manoir de Jeff Bezos, dans le quartier de Kalorama, où l'on croise lobbyistes, députés, sénateurs et membres du gouvernement.
Plus qu'un énième pamphlet sur l'impact destructeur du géant jaune au large sourire, ce livre, fruit d'années d'enquête, offre à lire le récit édifiant d'une société sous emprise.
De centres de livraison en data centers, de campus d'entreprises en entrepôts du mastodonte, visitez un autre monde, en proie à son Amazonisation, qui se divise entre gagnants et perdants, entre vies déconnectées et vies broyées par ce système.
Fruit de l'expérience d'un expert conseillant des copropriétaires au quotidien, de particuliers impliqués dans la gestion et le contrôle de leur copropriété et de professionnels de l'immobilier, cet ouvrage constitue la référence pour connaître et comprendre la copropriété.
Du simple immeuble à la vaste résidence, que la gestion soit bénévole ou professionnelle, toutes les modalités de fonctionnement des instances administratives et juridiques en charge de la bonne marche et de l'équilibre financier d'une copropriété sont détaillées de façon claire et pratique et illustrées de nombreux exemples concrets.
Les copropriétaires désireux de s'impliquer et d'agir y trouveront par ailleurs toutes les clés pour contrôler la bonne gestion d'une copropriété, améliorer son efficacité et résoudre les problèmes susceptibles de se présenter au quotidien comme à long terme.
Cette 5° édition intègre les modifications législatives les plus récentes et comment les appliquer.
La France jouit d'un talent créatif universellement reconnu, mais ne sait pas exploiter son inventivité. Nos startups industrielles et nos inventeurs n'ont d'autre choix que de s'exiler pour que leurs projets prennent vie.
Économiste et entrepreneur, André Safir révèle dans cet ouvrage tous les freins et les dysfonctionnements qui bloquent l'innovation, et démontre qu'un copier-coller des solutions américaines ou japonaises ne marche pas. Son analyse fine des spécificités culturelles, éducatives et sociétales met en évidence tout ce qui fait obstacle à notre capacité créatrice. Il explique comment transformer une innovation de rupture en une industrie rentable. En s'appuyant sur un exemple emblématique, il propose des mesures concrètes pour faire émerger les inventions qui permettent de rehausser la valeur de l'industrie française, le niveau de ses emplois et de ses performances économiques.
Nous sommes de plus en plus nombreux à transformer nos habitudes de consommation pour les concilier avec la protection nécessaire de notre planète. Mais quand vient le moment de mettre son bleu de travail, nous nous demandons parfois si le travail que nous occupons chaque jour a du sens face à la nécessité de construire une société respectueuse de l'environnement. Rassurez-vous, chacun d'entre nous peut insuffler un vent de renouveau au sein même de son entreprise ou de son usine, en mobilisant ses collègues et sa direction, en établissant ensemble des actions à mener à court, moyen et long terme.
Les riches ont toujours existé car les inégalités sont naturelles; En travaillant dur, chacun peut devenir riche;
On critique les riches par jalousie; Les riches consomment et investissent; Les riches créent des emplois; Les riches prennent des risques et innovent; Plus il y a de riches et moins il y a de pauvres; Les riches payent beaucoup d'impôts...
Philippe Richard, docteur en économie, analyse ainsi une vingtaine d'idées reçues sur la classe des plus fortunés et les inégalités sociales. En décortiquant précisément les données économiques, l'auteur apporte des éléments factuels sur la doxa libérale et les dérives de notre capitalisme. L'auteur pose également des questions essentielles pour le devenir de notre société: Est-ce une bonne chose que la fortune d'une minorité explose alors que la précarité grandit pour le plus grand nombre? Les riches représentent-ils une chance ou au contraire une menace pour l'équilibre de notre démocratie ? Notre société peut-elle survivre avec de telles inégalités ?
La concurrence est une notion qui intrigue et inquiète, assimilée tantôt à la saine émulation tantôt à une forme de darwinisme. Pour sortir de ces visions trop simplistes, l'analyse économique fournit un guide utile et rigoureux, en montrant que la concurrence est avant tout un mécanisme d'élimination des rentes injustifiées. Cet ouvrage présente les deux grandes visions économiques de la concurrence (la concurrence comme état versus comme processus), mais aussi ses effets micro et macroéconomiques (notamment sur la productivité et l'emploi), les obstacles à son effectivité, ainsi que les politiques d'ouverture et de régulation de la concurrence. L'ouvrage est préfacé par Laurence Boone, chef économiste à l'OCDE.
Dans cet ouvrage, Philippe Dewost embarque le lecteur dans l'épopée de l'innovation numérique. Cette technologie récente, qui a envahi nos existences en quelques années, n'a jamais été étudiée sous l'angle de son histoire. Figure emblématique de la French Tech, l'auteur construit cette histoire à partir de son expérience personnelle et permet au lecteur d'assister, en témoin privilégié, à chacune des grandes mutations de la technologie numérique et d'en saisir l'impact dans sa vie quotidienne. Il conduit donc le lecteur à s'interroger sur la question centrale de la souveraineté numérique, afin que le lecteur ne soit plus en situation de subir mais bien de consentir en connaissance de cause. Entre témoignage et essai, ce livre qui n'est pas réservé à un public de spécialistes, révèle à tous les curieux comment cette réalité complexe influence l'économie, la géopolitique, la culture et nos relations sociales. AUTEUR L'auteur, co-fondateur de Wanadoo et leader de la French Tech, embarque le lecteur dans l'épopée de l'innovation numérique. Il construit l'histoire de cette dernière à partir de son expérience personnelle et permet au lecteur d'assister en témoin privilégié à chacune des grandes mutations de la technologie numérique. L'auteur en révèle l'impact dans nos vies quotidiennes et montre comment le numérique influence l'économie, la géopolitique, la culture et les relations sociales. Il conduit le lecteur à s'interroger sur la question centrale de la souveraineté numérique.
Le bitcoin s'envole, Facebook lance sa crypto-monnaie Diem (ex-Libra), les initiatives de monnaie locale se diversifient... La monnaie se transforme et les innovations digitales sont de plus en plus nombreuses. Mais comment s'y retrouver ?
Le futur des espèces a pour ambition de vulgariser les grands concepts de la crypto-économie, de la blockchain à la politique monétaire de Bitcoin, en passant par l'inclusion financière et la gouvernance décentralisée. Ainsi, vous découvrirez le fonctionnement de ces innovations monétaires, leurs risques et opportunités, leurs enjeux sociétaux, mais aussi les idéologies qui les inspirent.
Avec des politiques monétaires parfois dignes de la science-fiction, l'objectif de ce livre est de vous permettre de comprendre les tenants et les aboutissants de la crypto-monnaie, tout en analysant les évolutions rapides de la société. Car aujourd'hui, la construction de meilleurs systèmes monétaires est à notre portée et, avec elle, la construction d'un monde meilleur.
Il vous appartiendra ensuite de vous forger votre propre opinion : Quelle forme doit prendre la monnaie de demain et qui doit la gouverner ?
On considère le plus souvent les guerres commerciales comme le résultat d'un leadership atavique ou d'intérêts économiques opposés d'États-nations concurrents. Or elles sont plutôt les symptômes malins et inattendus de choix politiques nationaux qui ont avantagé les élites au détriment des autres et creusé les inégalités.
En dressant le panorama des principaux changements survenus dans l'économie mondiale au cours des dernières décennies, les auteurs démontrent que les guerres commerciales actuelles sont le fruit des décisions prises par les politiciens et les chefs d'entreprise en Chine, en Europe et aux États-Unis au cours des trente dernières années.
Véritable défi lancé à la pensée dominante, une lecture essentielle et iconoclaste pour comprendre la politique internationale, les inégalités et l'avenir du système monétaire mondial.
Dans ce monde en perpétuel mouvement et incertain, l'adaptabilité et la créativité sont plus cruciales que jamais. Il n'est plus possible - ni même souhaitable - d'acquérir un ensemble de compétences professionnelles et de gravir les échelons. Les entrepreneurs et les chefs d'entreprise doivent au contraire anticiper le changement pour créer des opportunités de réussite professionnelle et de satisfaction personnelle.
Dans Disruptez-vous, Jay Samit, expert américain des médias numériques qui a lancé, développé et vendu des start-ups et des sociétés Fortune 500, décrit la méthode unique qu'il a utilisée. Il montre comment les stratégies qui aident les entreprises à prospérer peuvent être appliquées au niveau individuel. En remettant en question les hypothèses, en identifiant sa valeur unique et en identifiant les faiblesses de la structure des industries actuelles, tout le monde peut réussir et prospérer.
Incorporant des histoires tirées de sa propre expérience ou d'autres innovateurs comme Richard Branson, Steve Jobs, Elon Musk, YouTube, le Cirque du Soleil et bien d'autres, Samit montre comment la transformation personnelle peut conduire aux réussites entrepreneuriales et professionnelles.
Disruptez-vous offre des conseils clairs et stimulants pour tous ceux qui recherchent une grande pause ; toute personne ayant une grande idée mais ne sait pas comment l'appliquer ; et pour quiconque craint de ne plus être pertinent à l'ère du numérique.
Ce livre démystifie les mécanismes de la disruption pour les particuliers et les entreprises.
En ces temps de pandémie et de dérèglement climatique, beaucoup s'interrogent sur les actions à entreprendre, les habitudes à transformer, les solutions à inventer.Autour de nous existe pourtant un modèle qui a fait ses preuves face à l'adversité; un modèle fondé sur le partage - du risque comme des bénéfices -, où la solidarité n'est pas contradictoire avec un impératif d'efficience économique.Ce modèle, c'est l'entreprise mutualiste, qui permet à celui qui devient sociétaire d'être acteur de sa protection, de celle des autres, et d'oeuvrer en faveur du bien commun. Car l'entreprise et l'intérêt général ne sont pas deux notions incompatibles. Bien au contraire:c'est en les associant que nous pourrons répondre aux défis qui nous attendent.L'intégralité des droits d'auteur de ce livre est reversée à SOS Méditerranée.
Sous ce nom trop long et un peu vague se cache tout simplement la banque de l'État français, qui gère chaque année 1250 milliards d'Euros. Les retraites ? C'est elle. Le livret A ? Elle aussi. La formation professionnelle ? Elle encore. L'argent versé aux sociétés pendant le confinement, avec le fameux « quoi qu'il en coûte » ? C'est elle, toujours.
Eric Lombard ouvre toutes les portes de cette institution vitale pour l'économie réelle, et aborde tous les sujets : de la réforme des retraites au tournant écologique, du plan logement à l'épargne mal investi des Français : vous saurez enfin ce que fait l'État de votre argent.