L'émergence du monde numérique annonce un bouleversement majeur de l'industrie publicitaire. Même si les liasses de billets, la cocaïne et les boxers Calvin Klein sont les signes extérieurs les plus répandus d'un consumérisme décomplexé. Les téléphones cellulaires seront bientôt là et que les médias papier sont promis à une mort prochaine, les publicitaires dépensent encore sans compter au cours de cette décennie, parmi les plus extravagantes, outrancières et prospères du 20e siècle.
Alors que l'Amérique laissait derrière elle les années Eisenhower pour s'engager dans la décennie de tous les extrêmes, les années 1960 ne pouvaient qu'exhaler l'optimisme et les promesses offertes par une économie durablement prospère et sans entraves. La publicité exprime l'enthousiasme débridé de cette époque, où le rock-and-roll régnait en maître et où l'homme marcha sur la Lune, tandis que couvent les changements sociétaux qui déclencheront bientôt une révolution.
Alors que la télévision et les autres médias jouent des coudes pour palper la manne publicitaire, de nouvelles idées émergent du choc frontal entre une société post-hippie engagée politiquement, consciente des enjeux environnementaux et sanitaires, et la génération Moi des boomers. De la disco au punk en passant par la funk, ce volume de poids fournit un tour d'horizon exhaustif et nostalgique de cette période de transition pour la publicité.
Durant près d'un demi-siècle, la publicité télévisée a joué un rôle crucial dans la mise en place de la société de consommation mais aussi dans la genèse d'un citoyen acteur de la modernité. Ce récit social national, allié à l'attractivité du petit écran, a eu pour contrepartie un processus d'individuation du consommateur qui s'est accompagné de la déterritorialisation accélérée de son terreau social et culturel. La familiarisation avec ce théâtre cathodique a servi de marchepied à cette condition de l'individu moderne, cet "individu par excès", consommateur boulimique de biens et de plaisirs, mais dont les aspirations ne dépassent pas les frontières d'un ego autocentré et narcissique.
Peu à peu, le discours publicitaire a quitté la valeur d'usage et commerciale de la marchandise pour se tourner vers des "mythologies" hédoniques : les publicitaires ont endossé le rôle de passeurs concernant les nouveaux modes de vie, témoignant de l'aptitude créative et adaptative de la publicité à intégrer l'évolution des valeurs sociétales. Pour cela, ils ont dû constamment inventer des mondes possibles pour leur public, ajustant leurs imaginaires communicationnels à la conception conforme de la modernité du moment, quitte à dissoudre les certitudes du passé.
C'est à la déconstruction de ce récit social que s'attache l'ouvrage en apportant un point de vue transdisciplinaire tout en proposant des outils et des concepts aptes à en expliciter la portée et les enjeux.
Venez arpenter les allées d'un magasin de jouets américain. Portés par une culture consumériste en pleine explosion et de nouveaux empires médiatiques, le jouet américain devint au 20e siècle un produit de base qui émerveillerait des générations d'enfants. Ce catalogue exhaustif rassemble 100 années de publicités pour des classiques impérissables et des lubies oubliées: kit du parfait petit scientifique, poupées à froufrous et gants de base-ball, anneaux décodeurs, fusils à air comprimé et jeux vidéos.
Vices ou vertus? la consommation d'alcool et de tabac procure aux annonceurs des produits qui se prêtent à une véritable orgie visuelle. Ce plantureux recueil de publicités explore les multiples représentations de ces pratiques, tantôt élégantes, tantôt décalées, et révèlent comment les fabricants ont encouragé le grand public à s'imbiber et s'asphyxier durant tout le XXe siècle.
Page après page défilent letes ndances de chaque époque en matière d'alcool et de tabac, dans un festival de bons mots et de mascottes devenues des icônes, dont certains, comme le cow-boy Marlboro ou le chien Spuds MacKenzie, sont si étroitement liés à la culture populaire américaine qu'il leur suffisait d'apparaître dans une publicité pour promouvoir un produit invisible. D'autres annonceurs ont échafaudé des approches plus subtiles et sophistiquées pour vendre leur marchandise, une stratégie parfois très efficace, comme l'a démontré le succès phénoménal de la campagne Absolut. Même les médecins ont apporté leur contribution perverse à cette entreprise de propagande, en certifiant que fumer aidait à calmer les nerfs et à adoucir la gorge, et en vantant l'alcool comme un philtre de réussite sociale. Que vous vous adonniez à ces plaisirs coupables par inhalation et déglutition ou que le plaisir des yeux vous suffise, vous ne manquerez pas d'être captivés par cette exploration d'un chapitre bien tassé, et souvent polémique, de l'histoire de la pub.
Affiches, panneaux, enseignes, hommes-sandwichs, spots radio ou télé-diffusés, annonces imprimées ou en ligne: les visages de la publicité sont aussi multiples que quotidiens. Ce numéro de Sociétés et représentations envisage différents aspects de ces phénomènes, qui constituent un vaste champ d'exploration pour les sciences humaines et sociales. Que dit la publicité de notre rapport au monde? En tant qu'objet opportuniste se glissant sur de nombreux supports et signe visible d'une société capitaliste et marchande, la publicité ne cesse de toucher à nos conceptions sociales et politiques, et de susciter réactions et émotions. À travers des contributions s'intéressant aux formes et pratiques publicitaires depuis le début du XIXe siècle jusqu'à nos jours - et en particlier à l'heure de la professionnalisation du milieu publicitaire dans le premier XXe siècle -, il s'agit non seulement de documenter une histoire interne à cette industrie, mais également d'interroger ses relations avec des sociétés, des époques et des lieux divers, dessinant non pas une mais des cultures publicitaires. C'est dans une perspective pluridisciplinaire, au croisement de l'histoire sociale et culturelle, de l'histoire des techniques, de la typographie, de la littérature, de l'art, des médias audiovisuels ou encore de la sociologie, que ce dossier interroge les cultures publicitaires foisonnantes de la période contemporaine.
Les rapports entre l'art et la publicité sont parfois explosifs : d'un côté, les deux domaines s'influencent et s'interpénètrent, avec une vraie complicité ; de l'autre, ils se font concurrence et se critiquent réciproquement, non sans humour...
De Toulouse-Lautrec à Andy Warhol en passant par Sonia Delaunay, ce livre permet de découvrir des créateurs de génie ayant travaillé pour la publicité, de voir des chefs-d'oeuvre détournés par des campagnes diverses et variées, de savourer les qualités esthétiques époustouflantes de certaines d'entre elles ou encore de mesurer les combats de plasticiens contemporains contre les symboles de la société de consommation. Loin de céder à l'opposition stérile des vertueux artistes face aux vilains publicitaires, un ouvrage traversé par une quête commune de la surprise, de l'inventivité et de l'imaginaire.
Alors que le maccarthysme se propageait aux États-Unis et que le capitalisme était roi, l'Amérique blanche profitait d'un sentiment de fierté et de sécurité qui se reflétait dans la publicité. Inondant sans scrupules la société de fausses informations dangereuses, les compagnies des années 1950 vantaient tout et n'importe quoi, des vacances à Las Vegas d'où l'on pouvait regarder exploser des bombes atomiques, aux cigarettes idéales pour se remonter le moral, qu'un bébé n'hésite pas à recommander en affirmant que sa mère se sent mieux après avoir fumé une Marlboro. De la «meilleure machine à laver au monde» à la Cadillac qui «ouvre à l'homme de nouvelles perspectives», vous découvrirez pléthore de publicités hautes en couleur vantant à peu près tout ce qui s'achète. Oh, et «avez-vous remarqué que vos voisins sont de plus en plus nombreux à choisir du mobilier Herman Miller»? Si seulement vous pouviez vraiment remonter le temps pour ajouter quelques fauteuils à votre collection...
« Espérons que le livre de Tim Hwang parviendra à faire éclater la bulle spéculative du système publicitaire de l'internet qui profite à si peu. » - Danah Boyd.
Et si la publicité personnalisée promue par les géants du web n'était qu'un mirage ?
Tim Hwang déconstruit le mythe promis aux annonceurs d'un accès sur mesure à chaque utilisateur ou utilisatrice de l'internet. Il dévoile, ce faisant, les pratiques spéculatives et les manipulations des grandes places de marché publicitaires, intimement liées aux monopoles du web.
Que se passera-t-il quand ce mythe s'écroulera ? Quelles seront les conséquences de cet effondrement sur l'ensemble de l'économie de l'internet ? Et au-delà ?
Tim Hwang s'attache à montrer les similitudes entre le risque induit par la spéculation publicitaire numérique et ce qui s'est passé dans le secteur de la finance en 2008.
Un ouvrage éclairant et pédagogique sur les mécanismes de la spéculation dans la finance comme sur l'internet.
Des émeutes de Los Angeles au massacre du lycée de Columbine, les Américains assistèrent à des événements et consommèrent des biens qui reflètaient le meilleur et le pire de la décennie. La présidence de Bill Clinton était compromise, l'ère numérique était lancée et la planète entière était affectée par ce qui se passait dans la Silicon Valley. Les pages des magazines étaient dominées par le sexe et la nudité, qui servaient à vendre absolument tout ? haute-couture, parfums ou micro-ondes. La génération X bondissait sur Nirvana tandis que les «grands» envisageaient de s'offrir une sonde et ce truc qu'on appelait Hummer. Les mitraillettes à eau et les consoles de jeu Game Boy et PlayStation étaient les nouveaux jouets en vogue, et les univers Super Mario, Gran Turismo ou Sonic envahissaient l'esprit des plus jeunes partout dans le monde. Les marques de luxe étaient convoitées: les consommateurs rêvaient d'un sac à main Gucci, d'un cabas Vuitton, d'un foulard Hermès ou d'une robe Prada. Les compagnies TWA et Continental Airlines sillonnaient encore les airs et Volkswagen réinventait la Coccinelle. Si la décennie semblait s'écouler sans encombres, elle était aussi jalonnée d'événements majeurs et marquée par un consumérisme galopant préparant le terrain pour le XXIe siècle. Composé de six chapitres qui couvrent un vaste gamme de publicités ? alimentation, mode, divertissement, voitures, etc. ? dans un déluge d'images promotionnelles qui ont marqué leur époque, All-American Ads of the '90s est le recueil indispensable pour tous ceux qui ont passé les années 1990 à collectionner les peluches Beanie, regarder les Simpsons, lancer des pogs et dévorer les aventures de Harry Potter.
« La publicité, c'est la plus grande forme de l'art du XX e siècle » écrit Marshall McLuhan.
Tout au long de ce siècle, la publicité du tabac a fait écho au propos du célèbre théoricien des médias. Jusqu'à son interdiction en 1991, les plus grands noms de la création graphique en ont signé les affiches.
Elles reflètent l'esthétique et l'esprit de leur temps : luxuriantes à la Belle Epoque, pleines de charme et d'humour entre les deux guerres, modernistes dans les Trente Glorieuses.
A l'heure des emballages dissuasifs et neutres, Claude Weill a sélectionné les plus évocatrices de ces affiches. Il les fait revivre ici, classées par genre, comme autant de témoignages de l'humeur de leur époque.
Dans ce pamphlet dirigé contre la société de l'ego et du selfie promue par les GAFA, l'auteur fait l'éloge de la publicité et du média courrier qu'il conçoit comme deux liants indispensables au vivre-ensemble pour adoucir la brutalité des relations humaines sur les réseaux sociaux. Son analyse montre que le lien du courrier est aussi irremplaçable que celui de la politique.
Comment font les designer et les publicitaires pour influencer nos choix ?
Que nous le voulions ou non, dès que nous voyons un objet, une affiche, ou tout support de communication visuelle, la façon dont nous allons le juger se détermine en un quart de seconde. On aime, on n'aime pas, on comprend, on ne comprend pas, on fait attention (ou on se détourne) on désire (ou pas), on achète (ou pas).
Et ce qui détermine cette première impression, ce n'est pas un choix rationnel, mais des critères immédiats, donc visuels.
Ce livre nous dévoile les secrets du designer le plus influent du moment, qui nous explique, par l'exemple, comment une image, soit par sa clarté, soit par son mystère, réussit à faire passer un message et à nous convaincre avant même que nous ayons eu te temps de nous en rendre compte !
Moisson d'images glanées parmi des milliers, ce livre vous offre le meilleur des publicités américaines dans les magazines de l'époque de la «Grande Idée». À l'apogée du consumérisme américain, des campagnes de pub hautes en couleur dressent un tableau fascinant des années 1950-1960, alors que les inquiétudes autour de la Guerre froide cédaient la place au capitalisme insouciant avec tabac et alcool à profusion de l'époque des Mad Men.
Remasterisées numériquement pour une qualité de reproduction optimale, les typographies et les couleurs des pubs sont éclatantes, et transmettent cette sensation enivrante que tout est possible, en faisant revivre l'époque où les marques charment le public pour lui vendre tout et n'importe quoi, des fusils aux gaines, des voitures au dentifrice, des voyages aériens aux appareils ménagers. Tour à tour étonnant, amusant ou stimulant, ce panorama du marketing au milieu du siècle dernier est à la fois un document historique très évocateur et une vitrine de l'innovation en matière de design et de l'esprit à l'oeuvre dans la publicité.
Superbement illustré, cet ouvrage offre un aperçu fascinant de ce monde créatif en perpétuel changement.
Great ad ideas are all around us. Hidden in plain sight. Waiting to be dug up, to be polished. To shine in clear-cut design, in gripping film or in dazzling multimedia campaigns.
This book honors the greatest Belgian miners of content. The ones that succeed in digging up the most innovative images, the craftsmen of the purest ad diamonds. Covering thirteen categories, it displays Creative Belgium's 2017 Awards, from the ones that made the shortlist to bronze, silver and gold medal winners.
Once again, this book is a tribute to the leanest ads, to the most successful ideas, and to the unrelenting creativity of Belgium's finest ad men and women.
Le médiaplanning a pour but de prévoir le retour sur investissement d'une campagne publicitaire d'un annonceur, en termes de nombre d'individus touchés et de nombre de contacts distribués. Il permet d'évaluer, à l'avance et en chiffres, le résultat d'un plan média sur une cible déterminée.
Les tailleurs Chanel, les sacs Louis Vuitton et les montres Omega sont aujourd'hui des objets qui incarnent une culture matérielle globalisée. Depuis une trentaine d'années, l'industrie du luxe a connu une formidable expansion à travers le monde. Elle reste toutefois largement dominée par des entreprises européennes, qui comprennent aussi bien des conglomérats diversifiés comme LVMH et Richemont, que des entreprises indépendantes telles que les maisons de couture italiennes, les fabricants de montres suisses ou l'industrie française des cosmétiques. Quelles sont les sources de la compétitivité de ces entreprises ? Comment sont-elles parvenues à transformer en profondeur un secteur jusque-là dominé par des petites firmes familiales et à en faire un « big business » à l'échelle du monde ? Cet ouvrage présente le développement de l'industrie mondiale des biens de luxe des années 1980 à nos jours. Il met en lumière les stratégies mises en oeuvre par une nouvelle génération d'entrepreneurs et explique, au-delà de l'image glamour véhiculée par les marques de luxe, les sources du succès de ces firmes. Un livre essentiel pour comprendre l'industrie contemporaine du luxe.
Racoleuse, mensongère, trompeuse, abrutissante, insidieuse, matraqueuse, pollueuse, déguisée. La pub est prête à tout, depuis toujours !
Dénichées dans les journaux comme Le Gaulois, L'Illustration, Le Petit Journal, les publicités que vous allez découvrir donnent la priorité à l'efficacité commerciale, quitte à parfois frôler le comique et la caricature. C'est ce qui fait, avec notre recul, le charme de ces messages incroyables vantant les mérites de produits, disons-le, souvent improbables ! Tout y passe, du plus farfelu au plus innovant : crèmes, pommades et lotions en tout genre, automobiles dernier cri, bains de vapeur (!), appareils électroménagers, postes de radio, liqueurs et dépuratifs hautement efficaces, nouveau chauffage central, produits amaigrissants étonnants.
Plongée ludique dans la société de consommation de nos parents et grands-parents, cet ouvrage offre une photographie nostalgique et ridicule d'un « temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître ! ». Que de souvenirs !
Pour ce nouveau volume des Pubs, le thème choisi est La Femme, sous toutes ses coutures, vue par le prisme de la réclame ces 100 dernières années. Une belle occasion de regarder à travers le temps comment la femme a été perçue par notre société. Car entre les années 20, les années 50 ou 70, on ne parle pas du même sujet.
En résumant, la femme des années 20 est séductrice, celle des années 50 est consommatrice, et celle des années 70 est sexuellement libérée.
La publicité étant une éponge assez peu subtile de son époque, vous pouvez donc vous attendre à des images qui ont assez mal vieillies, ce qui fait d'ailleurs tout l'intérêt de cette compilation. On hésitera à sa lecture entre le sourire et le rejet, tellement cette image caricaturale du passé n'est plus en phase avec notre regard moderne.
Les pubs que vous ne verrez plus jamais, tome 4 : une tranche d'histoire, 100 ans de vie quotidienne racontée par l'image.
Les publicitaires nous créent-ils des besoins?
Peut-on vendre un politicien comme on vend de la lessive?
Les couleurs influencent-elles nos décisions d'achat?
Consommation, culture, médias, politique, causes sociétales: tout est aujourd'hui une question d'image et de "marque" à vendre. De A à Z, Arnaud Granata et Stéphane Mailhiot nous plongent dans la tête des publicitaires et nous donnent des pistes pour consommer plus intelligemment. Un ouvrage ludique et accessible, agrémenté de quizz et de tests amusants pour mieux connaître le consommateur en nous.
Cet ouvrage de la collection "Attention: logo!" s'intéresse à l'identité visuelle du Secours populaire français. Dès 1945, l'association intervient auprès de populations démunies. En 1980, surgissent les prémisses du logotype dessiné par Grapus: un avion dont le cockpit est une main qui porte la solidarité à travers le monde. Avec la main ailée, véritable "image-emblème", Grapus propose une image sensible en écho à la vulnérabilité des personnes. Au-delà de l'histoire de cette identité visuelle se dessine le récit d'un graphisme engagé des années quatre-vingt à nos jours, avec les travaux du collectif Grapus, de Nous Travaillons Ensemble, de l'Atelier de création graphique, les photographies du Bar Floréal et de Magnum.
L'enseigne en Côte d'Ivoire fut un moyen de communication populaire, très prisé. Elle l'est encore. Elle naît au carrefour des rues, accrochée aux petites échoppes, elle fait partie du paysage urbain. Elle est le témoin du génie «des petits métiers», des entreprises spontanées du secteur informel, parfois éphémères, souvent bien enracinées dans la vie des grandes cités africaines. Ce livre est composé de multiples photos d'enseignes, anciennes et nouvelles, judicieusement photographiées par Uwe Ommer dans ses parcours en Côte d'Ivoire, pendant plusieurs années.